Auba Danse

Les murs s’effritent, prison sans clé, Un vent de cendre embrase les toits. Les rêves s’égarent, chaînes rouillées, Dans l’ombre figée d’un ancien roi. (Auba Auba) Je cours, je crie, l’écho s’égare, Les rues sans nom retiennent mon sort. (Auba Auba) La nuit dévore l’espoir trop rare, Chaque étoile s’éteint sans remords. (Auba Auba) Opera, danse, sous la lune d'extase (Auba Auba), Opera, danse, jusqu'à perdre la trace. Les lampes pleurent un feu glacé, Sur l’asphalte usé de pas sans bruit. Les âmes sombrent, visages froissés, Spectres errants sans jour ni nuit. (Auba Auba) Je cours, je crie, l’écho s’égare, Les rues sans nom retiennent mon sort. (Auba Auba) La nuit dévore l’espoir trop rare, Chaque étoile s’éteint sans remords. (Auba Auba) Opera, danse, sous la lune d'extase (auba auba), Opera, danse, jusqu'à perdre la trace. Mais si la brume ferme mon corps, J’écrirai l’aube au feu du vent. Un jour, je briserai ce décor, Renaissant vif à contretemps. (Auba Auba Auba...) La nuit dévore l’espoir trop rare, Chaque étoile s’éteint sans remords. (Auba Auba Auba) Opera, danse, sous la lune d'extase (auba auba), Opera, danse, jusqu'à perdre la trace.